Toi qui doute de nos pouvoirs, regarde nos monuments

Prologue

Cette inscription ci-dessus sur une des portes de Samarcande qui a vu naître une civilisation est le frontispice de ce blog.

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En Egypte 3150 ans avant notre ère, le roi Namer fonda la première dynastie d’une civilisation qui dura 3 millénaires. Cette civilisation croyait en une vie après la mort et construisit des tombes pour préserver les corps des défunts.

Les tombes étaient scellées pour être inviolables afin que le Ka immatériel du défunt puisse trouver le corps au cours de son voyage dans le royaume des ombres.

Au fil du temps, cette coutume funéraire a évolué, aboutissant à des tombes plus grandes, leur architecture se perfectionne.

Malgré les efforts déployés pour protéger les tombes, toutes ont finalement été violées, jusqu’à ce que le roi Djéser invente une architecture révolutionnaire qui perdura plus de deux siècles.

Seules sept immenses pyramides ont été construites selon cette nouvelle architecture, mais à ce jour personne ne sait par quels moyens elles ont été construites ni où se trouvent les restes de ces rois.

Les 7 grandes pyramides d’Égypte nous parlent depuis 4500 ans dans leur langage fait de pierres et des lois de la physique, ce blog en a décrypté le sens et vous en propose la transcription dans la langue des hommes.

Djoser&meidoum
Rouge&rhomboidale
Cheops-khephren-mykerinos

TOUTES les chambres anonymes des 7 grandes pyramides sont tristes, vides et nues, sans peintures, sans gravures, sans sarcophage et quand il y en a un il fut trouvé vide et sans couvercle.

Aussi loin qu’on remonte dans le temps, personne n’a jamais déclaré n’y avoir trouvé autre chose que des gravats et des graffitis de visiteurs.

Certes à cette époque la tradition funéraire commune était celle, au fond de puits comblés, de caveaux anonymes aux murs nus, mais l’antichambre de la tombe contenait les nom et qualité du locataire et parfois de magnifiques gravures peintes rappelant le bonheur de vivre du défunt.

Cependant il ne viendra à l’idée de personne de contester que ces 7 grandes pyramides ont introduit une énorme innovation dans le monument funéraire.

A quoi bon avoir mobilisé le meilleur d’un royaume à entasser ces millions de pierres pour bâtir un monument destiné à perpétrer la mémoire et à conserver la dépouille du roi défunt éternellement, pour ne retrouver à la fin dans ces chambres si facilement accessibles, qu’elle soit physique ou mémorielle, aucune trace de ces 7 pharaons.

Quel gâchis!

Alors que rien ne reste de décelable à l’intérieur de ces pyramides, certains prétendent que tous le mémoriel était dans le temple associé, mais rien dans ces monuments quand ils existent encore ne permet de justifier ces propos et l’attribution de telle pyramide à tel ou tel roi relève plus de la devinette que de la constatation de preuves  irréfutables.

N’en déplaise au « consensus » il est tout a fait légitime de considérer que ces chambres n’ont jamais été d’authentiques chambres mortuaires!

Mais alors ces chambres à quoi ont-elles pu servir?

Et ces rois où reposent ils?

Répondre à ces deux questions est l’objet de cette étude.

Le lecteur pressé trouvera ci-dessous des réponses rapides et concises à ces deux questions, leurs justifications détaillées sont dans le sommaire ci-contre:
  • D’emblée, la pyramide à degrés de Saqqarah, la première en pierres taillées jamais construite, révolutionne l’architecture funéraire traditionnelle, quand on l’analyse finement elle livre le secret de toute la famille qui a suivit, le roi n’est plus en bas dans un caveau sinistre trop facilement accessible, mais dans son « bunker » au centre de la pyramide, le lieu qui met le plus de pierres entre la dépouille du pharaon et les profanateurs.
  • L’examen attentif de l’assise 201 de la pyramide de Chéops permet de deviner que l’architecture préalable du caveau au fond d’un puit a en fait été conservée dans son principe, mais désormais le « fond du puits » se situe au centre de la pyramide et le puits part du sommet, comblé de pierres de plus en plus grosses à la mesure de la taille croissante des pyramides, les faces devenues lisses, la hauteur du sommet et le poids des blocs rendant quasi impossible de dégager le puits d’accès au caveau, d’autant plus que des chambres leurres ont été aménagées pour tromper les « visiteurs du futur »
  • A Saqqarah, les 12 puits sous cette première grande pyramide auraient pu contenir de l’eau portant des flotteurs qui avec une conception simple mais subtile pouvaient élever très facilement les pierres de construction et même d’imposants monolithes dans le puits central.
  • Les 6 rois suivants ont copié, adapté et amélioré cette innovation dans des pyramides de plus en plus grosses. Ils sont toujours là dans leurs bunkers étanches au centre de leurs pyramides, intacts depuis 4 500 ans et pour longtemps encore car personne ne les cherche plus.
  • Les chambres visitées n’ont bien entendu rien de funéraire puisque ce sont d’anciens réservoirs d’eau aujourd’hui asséchés.
  • A ce jour nous n’avons visité des grandes pyramides que des circuits d’eau, et encore partiellement car les puits verticaux contenant les flotteurs élévateurs, habilement masqués et maquillés en chambres, jamais recherchés, restent en grande partie à découvrir (sauf dans la première où ils crèvent les yeux).
  • Les seules « entrées » trouvées dans les grandes pyramides sont des entrées d’eau.
  • Sans les puits verticaux contenant les flotteurs élévateurs, mettre de l’eau dans les chambres et les galeries des pyramides n’aurait  aucun sens.
  • Ces puits verticaux ont donc été bouchés par des tonnes de pierres et masqués pour cacher la présence de l’eau.
  • Les galeries d’accès depuis l’extérieur des pierres de construction conduisant aux élévateurs dans les pyramides, soigneusement obturées, jamais recherchées, sont encore totalement à découvrir.
  • Ajouté à des millions de tonnes de pierres, pour renforcer la protection des rois, toutes les pyramides ont été habilement maquillées pour faire croire aux « visiteurs » du futur qu’ils n’étaient pas les premiers et que ceux qui les avaient précédés avaient déjà tout emporté de ce que contenaient les chambres qui « à l’évidence » ne pouvaient être que des chambres funéraires, quoi d’autre? vraiment!

La magie de ces décors dignes prédécesseurs de l’illusion d’Hollywood agit toujours, depuis des siècles tous les visiteurs et spécialement les archéologues ont été dupés, déambulant dans des conduits d’eau asséchés, tous ont cru et croient encore qu’ils ont visité les chambres mortuaires des grands rois soigneusement « nettoyées » par les pillards.

Derrière « l’évidence » de puits alors remplis d’eau dont les traces maquillées sont encore dans les pyramides, il y a, (presque) disparus à jamais, les outils qui ont permis d’extraire des carrières et transporter des millions de pierres, comme le « patin déroulant » pour déplacer les blocs même les plus lourds avec peu de frottement, comme l’utilisation de contrepoids et treuils pour élever certains blocs le long d’une face de la pyramide.

Pour faire cette pyramide les constructeurs avaient devant eux un problème qui se divisait en deux:

  • Extraire, déplacer, élever et poser les millions de blocs de dimensions variables pesant de 100 Kg à 7 t qui constituent le remplissage et le parement de la pyramide.
  • Le même traitement pour les quelques centaines de blocs allant de 7 à 72 t faisant partie de la maçonnerie interne de la pyramide.

Chacun de ces problèmes faisant l’objet d’une solution spécifique,

  • Pour les centaines de blocs les plus lourds utilisation de puits élévateurs hydrauliques
  • Pour les millions de pierres du remplissage et du parement utilisation de la face de la pyramide pour élever les blocs avec contrepoids piloté par un treuil.

Ils avaient pour cette immense tâche deux problèmes fondamentaux à résoudre:

  • Faire circuler les blocs sur les faces lisses du parement sans les dégrader et en réduisant les frottements.
  • Générer le force nécessaire pour élever les blocs sur une pente à 52° de la base au sommet.

Pour les déplacements ils ont inventé « le patin déroulant » à mettre sous les chariots portant les charges, ce patin contenant en interne la piste de frottement ou de roulement qui se referme sur elle même, parcourue par la face interne d’une chenille dont la face externe reposait sur le sol.

PatDeroulPlot

Ainsi une piste de progression qui autrement aurait pu être longue de centaines de mètre se réduit à quelques centimètres, et pouvait être particulièrement soignée en choix de matériaux et des lubrifiants.

Ce patin presqu’aussi simple que le fil à couper le beurre est « tous chemins » il va aussi bien pour la face de la pyramide que pour la surface des assises en cours de construction ou les chaussées construites pour l’acheminement des blocs soit à parti du Nil soit à partir des carrières du plateau.

Pour lutter contre la pesanteur qui colle au sol les blocs à élever, les constructeurs ont utilisé la même force pour laisser descendre le long de la face opposée un contrepoids qui annule le poids du bloc qui monte sur la face.

Bloc et contrepoids sont liés par une corde qui traverse l’assise en cours de construction en passant par deux renvois de corde coté bloc et coté contrepoids.

Bloc Montant

Contrepoids

Il est connu que les lois de la chute des corps ont été mise en mathématique bien plus tard par Galilée, Beeckman et Descartes, ce qui n’empêchait pas les constructeurs de les connaître parfaitement au moins empiriquement.

Ils savaient que maîtriser la vitesse de chute d’un tel système poids-contrepoids laissé à lui même était un exercice périlleux, ils ont donc interposé dans la corde traversant l’assise un treuil horizontal actionné par des opérateur, ce treuil introduit une force sous contrôle humain qui s’ajoute à celle exercée par le contrepoids, qui de facto pouvait être un peu plus léger que le bloc à élever.

Tout en restant efficace la force produite par ce treuil pouvait n’être qu’une fraction du poids du bloc à monter, par exemple de l’ordre de 1 tonne pour monter un bloc de 6 tonnes.

L’examen attentif de l’assise 201 qui fait 0.57 m d’épaisseur nous montre que les blocs de remplissage ne sont pas tous identiques, on en trouve de 100 Kg à 4 tonnes dont 20% en nombre ont un poids inférieur à 1 t et 50% à 1.8 t.

Bien que cette assise puisse ne pas être totalement représentative de l’ensembles des autres, on peut s’attendre pour la  moyenne des assises dont l’épaisseur fait 0.7 m à un bloc moyen de 2.2 t et un bloc lourd de 5 t, alors que pour les assises les plus épaisses autour de 0.9 m ces valeurs passeraient à 3 t et 6.6t.

Il fallait donc pour les blocs les plus lourds des cordes résistantes à ces tractions, aujourd’hui une corde en chanvre naturel (le même qui fut utilisé par les ancien égyptiens) casse à 13 t pour un diamètre de 44 mm, elle aurait pu être utilisée pour les blocs de remplissage les plus lourds, alors que pour les blocs de 3 t une corde de 30 mm aurait suffit.

Mais quelle corde utiliser pour un bloc de 72 t?

Voilà pourquoi les constructeurs ont choisi de mettre au point des élévateurs hydrauliques (dès la première pyramide de Djoser) plus lents mais plus forts.

Puits élévateurs, patin déroulant, contrepoids, treuil horizontal, témoignent d’une connaissance profonde, partie scientifique, partie empirique des lois de la nature qui bien exploitées ont permis à une poignée d’ingénieurs et 2 000 ouvriers seulement de bâtir en 20 ans « Akhet Khufu », la grande pyramide.

Cette vidéo expose les 3 points fondamentaux des pyramides:

Capture
A la recherche des 7 rois perdus

Épilogue pour le lecteur pressé:

Les Égyptiens de la III et IV dynastie ont connu pendant environ 160 ans leur « siècle des lumières », c’est évident leurs grandes pyramides témoignent encore 4 500 ans plus tard qu’ils ont réussi la conquête du temps.

On ne saura jamais si l’énorme accroissement de leur taille jusqu’à la pyramide de Chéops a été le fait d’une cause fonctionnelle ou de l’ego des pharaons. La dégringolade rapide qui a suivi l’apogée avec la pyramide de Chéops, puis la disparition pour toujours de cette famille de pyramides témoigne d’un bouleversement sociétal qui a provoqué à minima l’extinction définitive d’un savoir cumulé pendant cette période brillante.

Ces monuments révèlent de la part d’humains la volonté de laisser un message « éternel » à la postérité, donc de se « mesurer » au divin, ce qui laisse soupçonner une certaine dimension d’ego.

4 500 ans plus tard le défi tient toujours et on a tout lieu de croire qu’il durera au moins ce que va durer l’humanité et au train où vont les choses on a tout lieu de craindre que dans  4500 ans il ne restera que les fourmis pour admirer le spectacle des grandes pyramides, alors à quoi bon durer plus!

Un message quel qu’il soit est toujours laissé avec l’intention qu’il puisse être compris par quelqu’un de son espèce ou qui sait? d’une espèce supérieure, la pyramide ne s’adresse pas aux fourmis.

Du haut de son bunker inviolé, le roi desséché domine la flottille des mastabas tout autour qui l’accompagnent dans son aller simple pour l’éternité. Paradoxalement, certains des nobles d’en bas, dont les tombes ont été dévastées ont laissé leurs noms et leurs visages parvenir jusqu’à nous, le roi trop bien protégé laisse une énigme, qui est là haut?

Toutes ces grandes pyramides sont anonymes, leur attribution à des rois par les archéologues est discutable, il y en a même qui attribuent sans sourciller trois pyramides au même pharaon, pourtant on ne meurt qu’une fois! et qui pour faire bonne mesure décrètent que certaines sont vides de momie, « pas assez belles, pas assez grandes, pas assez sûres? ».

Ce fait témoigne que le message laissé par les bâtisseurs est en clair obscur, ambigu, cette masse sur le sol, on ne peu plus visible, on ne peut plus durable est muette.

Les pyramides lancent à la postérité une énigme digne du sphinx qui veille sur elles:

« Si tu veux savoir mon nom dénoue l’énigme de ma construction « 

Cependant depuis 4 500 ans les pyramides « parlent », dans leur langage qui n’est pas le langage commun des hommes, il est crypté dans le langage intemporel et immuable de la nature et des nombres qui ne s’apprend pas dans les écoles d’archéologie, mais dans les écoles d’ingénieurs.

Le consensus des archéologues n’a rien compris de ce message car il n’a pas la clé de lecture.

Submergés par la masse immense, dupés par les rois, ils errent sans comprendre depuis des siècles dans le labyrinthe des tripes du mécanisme hydraulique qui y a élevé les pierres, ne sachant pas où chercher, ils n’y ont rien trouvé sinon des gravats et des graffitis.

La communauté des archéologues néglige encore certains indices évidents, comme cette maçonnerie de 5 m de profondeur derrière la « niche » de la chambre basse de la grande pyramide,  car ils ne sont pas éclairés par le réverbère de leurs croyances, elle va tenir pour négligeable cette étude qui sort trop de leurs sentiers rebattus et qu’ils auraient du mal à comprendre si d’aventure ils s’y risquaient.

Faudrait il enfin que ce soient ces particules plus vieilles encore que les pyramides, muons venus d’étoiles mortes du fin fond de l’univers, que le projet « scan pyramid » fait parler, qui nous montrent où sont les rois?

Résumé du site

5 réflexions sur “Toi qui doute de nos pouvoirs, regarde nos monuments

  1. Mais c’est passionnant ! Bravo pour ce travail ! Vos observations sont brillantes. Je n’ai pas les capacités et compétences en archéologie égyptiennes pour vous amener la contradiction, cette marotte étant récente, mais on lit votre blog et ses chapitres comme un roman…

    D’ailleurs ce livre ? Il vous faut un livre pour asseoir votre cheminement intellectuel qui a amené votre théorie, ses possibles emprunts, ses erreurs et ses grandes révélations. Le livre est le seul média qui inscrit les choses dans le marbre : son aura légitime le propos et son auteur. On donne l’interview à l’auteur d’un livre, moins à celui d’un blog.

    Cela fait quelques mois que je me suis intéressé à l’égyptologie et c’est par hasard que je suis tombé aujourd’hui sur votre site. Ce n’est pas normal. Il vous faut un livre ! Peut-être est-il en préparation ?

    Encore Bravo.

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  2. Vin Myt

    Mais c’est passionnant ! Bravo pour ce travail ! Vos observations sont brillantes. Je n’ai pas les capacités et compétences en archéologie égyptiennes pour vous amener la contradiction, cette marotte étant récente, mais on lit votre blog et ses chapitres comme un roman…

    D’ailleurs ce livre ? Il vous faut un livre pour asseoir votre cheminement intellectuel qui a amené votre théorie, ses possibles emprunts, ses erreurs et ses grandes révélations. Le livre est le seul média qui inscrit les choses dans le marbre : son aura légitime le propos et son auteur. On donne l’interview à l’auteur d’un livre, moins à celui d’un blog.

    Cela fait quelques mois que je me suis intéressé à l’égyptologie et c’est par hasard que je suis tombé aujourd’hui sur votre site. Ce n’est pas normal. Il vous faut un livre ! Peut-être est-il en préparation ?

    Encore Bravo.

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    1. khufulite

      Merci pour votre commentaire si positif!
      Un livre est un ouvrage définitif, il est encore trop tôt pour moi d’y penser, car je suis dans une démarche de réingénierie des 7 grandes pyramides, en fait je fais de la recherche fondamentale sur les méthodes et outils que les constructeurs auraient pu concevoir pour bâtir ces pyramides avec un effectif somme toute assez faible au regard du monument. Mais c’est difficile comme retrouver la poule à partir de l’œuf! Comment dans toutes recherches on trouve toujours quelque chose qui rend caduques les hypothèses précédentes (il n’y qu’à voir les bouleversements des théories d’astrophysique occasionnés par le télescope J.Web) et donc les solutions que je propose ont beaucoup évoluées vers plus de simplicité et d’efficacité et évolueront encore jusqu’à ce qu’on trouve des documents ou des objets de cette époque qui donnent la réponse, si ça doit arriver un jour..
      Par exemple j’ai récemment pris conscience que le shadouf, modeste mais très efficace pompe à eau manuelle, qui était encore utilisée par les fellahs avant la mise en route des pompes électriques et qui nous vient de la nuit des temps, pouvait donc être porteuse de concepts utilisés à cette époque.
      Une de mes découvertes fondamentale fut qu’une « machine » faite par les constructeurs est toujours simple = un seule pièce en mouvement, mais subtile et efficace comme le chadouf!

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  3. Ce site présente un travail exceptionnel. Chapeau bas.

    Vous avez, cher monsieur, accompli un travail de détective hors pair en faisant preuve d’une ténacité rare dans une solitude totale. Vos précédentes idées valaient déjà sacrément le coup d’être écoutées, même si elles manquaient beaucoup d’enracinement, mais là…

    Vous touchez à la thèse complète et cohérente. Vous étiez intéressant, vous devenez incontournable. Il ne vous manquera plus que des moyens, ce que ne peuvent apporter que des intelligences réelles, larges et surtout disponibles. Je gage qu’elles viendront.

    Je ne suis rien, je ne peux rien, je suis comme vous. Vous avez mon mail (sauf le x de freex), si vous désirez entrer en contact, ce sera avec plaisir.

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